Le Shadok étant un lieu à vocation dynamique, nous avons souhaité créer un mobilier sous la forme d’un atelier qui le re-présente.

Le lieu donnant l’opportunité à tous de concrétiser un projet, grâce au FabLab,

nous avons imaginé un projet permettant

aux usagers une première approche de la fabrication. C’est pourquoi, nous avons créé le Cosmo-Atelier pour le concours organisé par le Shadok en 2014.

 

Cet atelier intègre les utilisateurs dans le processus de fabricationde leur espace.

Ainsi, leur premier contact avec le lieu est synonyme de liberté de création.

 

Le nom « Le Cosmo-Atelier » est une référence directe au vocabulaire des Shadocks (1), tout en apportant une autre signification. Cosmo devient le préfixe d’Atelier et renvoie à l’organisation de l’univers au sein du Shadok.

 

Nous nous sommes appropriés tous les espaces du rez-de-chaussé comme zone de fabrication.

Il est possible de répondre aux différents usages, délimités par des zones, en réalisant des tables aux formes multiples. Ainsi, il est possible de s’installer près du bar ou à l’extérieur, pour se détendre en buvant un café, discuter ou se rencontrer.

Dans la zone de convivialité (2), il est possible de configurer de multiples aménagements pour créer un lieu intime pour échanger, travailler, ou un espace commun pour participer à des animations ou des expositions.

La dimension des tables dépend du besoin des utilisateurs. La volonté est d’engendrer des liaisons entre les personnes par la mise en réseau du mobilier. En plus de la mise à disposition des tables, nous avons souhaité ajouter des accessoires, pour répondre aux différents usages. Parmi les accessoires, on compte des lampes, des cimaises et des plateaux tournants.

 

Le Cosmo-Atelier a été imaginé dans la continuité du thème de  l’aménagement, proposé par Urbane Kulture, qui est « la flexibilité de l’espace ».

 

Par l’utilisation du Cosmo-Atelier, l’utilisateur peut s’approprier le lieu de toutes les manières possibles.

 

 

 

(1) Exemple : cosmopompe, cosmogol ...

(2) Au centre, entre les quatre voiles de contreventement en béton.